Madagascar
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Quelques Idées de Voyages à Madagascar
Pour aller plus loin...

Un Trail Tropical à Nosy Bé
Depuis des décennies Nosy Bé, « Grande île » en malgache, est réputée pour les magnifiques sites de plongée et la pêche . Courir en plein été, mi-décembre, constitue un défi. Dans cette végétation tropicale luxuriante, le (...)
Depuis des décennies Nosy Bé, « Grande île » en malgache, est réputée pour les magnifiques sites de plongée et la pêche . Courir en plein été, mi-décembre, constitue un défi. Dans cette végétation tropicale luxuriante, le degré d’hygrométrie associé à la chaleur s’avèrera fort éprouvant pour les organismes des « vazahas », « Blancs » en langue malgache. Le départ est donné à 6 heures du matin, à Bemoko. Les coureurs locaux, garçons et filles, sont nombreux. Petits, minces, certains champions sont venus de toute l’île pour se mesurer sur la distance (...)
Depuis des décennies Nosy Bé, « Grande île » en malgache, est réputée pour les magnifiques sites de plongée et la pêche . Courir en plein été, mi-décembre, constitue un défi. Dans cette végétation tropicale luxuriante, le degré d’hygrométrie associé à la chaleur s’avèrera fort éprouvant pour les organismes des « vazahas », « Blancs » en langue malgache. Le départ est donné à 6 heures du matin, à Bemoko. Les coureurs locaux, garçons et filles, sont nombreux. Petits, minces, certains champions sont venus de toute l’île pour se mesurer sur la distance de 45 kilomètres. L’enjeu n’est pas le même pour les coureurs étrangers : découvrir Nosy Bé par l’intérieur des terres. Pour ma part je me suis fixé 9 heures de course.
Les premiers kilomètres nous font traverser des pâturages de zébus noirs, bruns, gris, puis des plantations de tecks : les jeunes arbres sont reconnaissables à leurs énormes feuilles vert vif, et des plantations (...)

Sur la Route des Epices
Autrefois surnommée la côte du palissandre et la côte des Pirates, la côte est de Madagascar est aujourd'hui appelée la côte de la Vanille. Il s'agit en fait de l'une des régions les plus verdoyantes du pays, un ancien repère de (...)
Autrefois surnommée la côte du palissandre et la côte des Pirates, la côte est de Madagascar est aujourd'hui appelée la côte de la Vanille. Il s'agit en fait de l'une des régions les plus verdoyantes du pays, un ancien repère de pirates qui venaient y piller les navires marchands. C'est aussi la côte des cyclones qui y sévissent plusieurs fois par an dans l'océan Indien, mais son surnom actuel provient du fait que la côte est malgache produit aujourd'hui la majorité de la vanille du pays. C'est au cœur d'une végétation luxuriante que le canal des Pangalanes s'étire sur plus (...)
Autrefois surnommée la côte du palissandre et la côte des Pirates, la côte est de Madagascar est aujourd'hui appelée la côte de la Vanille. Il s'agit en fait de l'une des régions les plus verdoyantes du pays, un ancien repère de pirates qui venaient y piller les navires marchands. C'est aussi la côte des cyclones qui y sévissent plusieurs fois par an dans l'océan Indien, mais son surnom actuel provient du fait que la côte est malgache produit aujourd'hui la majorité de la vanille du pays. C'est au cœur d'une végétation luxuriante que le canal des Pangalanes s'étire sur plus de 600 kilomètres en une succession de cours d'eau. La visite de l'est tropical se suffit pour découvrir les variétés naturelles de Madagascar. De la réserve d'Analamazaotra au canal des Pangalanes en passant par l'île aux Nattes, rencontre avec les splendeurs naturelles malgaches.
La longue frange littorale de la côte est de Madagascar se distingue par une végétation luxuriante où les (...)

La Reine de l'Isalo
L’Isalo, un des incontournables parcs nationaux malagasy à découvrir, raconte son secret, dévoile sa (...)
L’Isalo, un des incontournables parcs nationaux malagasy à découvrir, raconte son secret, dévoile sa Reine.
Se dresse majestueusement, admirée de ses sujets de toutes nationalités et de toutes ethnies, la Reine de l‘Isalo, sculptée par dame nature, bizarrement érodée par le temps, trône l’univers du Grand Sud, surveille la RN 7. Face au pic Sud du parc et séparée de quelques kilomètres de la FENETRE de cet étrange massif ruiniforme, elle adore ce défilé de voyageurs curieux, désireux à tout prix de garder un bon souvenir de sa Majesté. Devant la dominante Statue, chaque (...)
L’Isalo, un des incontournables parcs nationaux malagasy à découvrir, raconte son secret, dévoile sa Reine.
Se dresse majestueusement, admirée de ses sujets de toutes nationalités et de toutes ethnies, la Reine de l‘Isalo, sculptée par dame nature, bizarrement érodée par le temps, trône l’univers du Grand Sud, surveille la RN 7. Face au pic Sud du parc et séparée de quelques kilomètres de la FENETRE de cet étrange massif ruiniforme, elle adore ce défilé de voyageurs curieux, désireux à tout prix de garder un bon souvenir de sa Majesté. Devant la dominante Statue, chaque voyageur stationne, regarde, apprécie, vénère et immortalise cette présence naturelle. Et le temps passe, les gens aussi. Seule mais jamais solitaire, la Reine se ferait tous les jours une beauté avec son amie: Dame Nature. Isalo : massif gréseux de 81540 ha d’une altitude entre 820 et 1304 m, à 226 km au Nord- Est de Tuléar et à 700 km au Sud Ouest d’Antananarivo, la capitale de (...)

La Vie d’une Pirogue Malagasy
L’Océan, frontière naturelle de la Grande île, partage le destin des pêcheurs. Fille du Mozambique, l’ethnie Vezo n’échappe pas à cette voie. De Lavanono au Sud-ouest, jusqu’au Moyen-ouest au Nord de Morombe, elle navigue, (...)
L’Océan, frontière naturelle de la Grande île, partage le destin des pêcheurs. Fille du Mozambique, l’ethnie Vezo n’échappe pas à cette voie. De Lavanono au Sud-ouest, jusqu’au Moyen-ouest au Nord de Morombe, elle navigue, pagaye, se laisse emporter par le Tsioka (le vent). A bord de leur lakana (leur pirogue), leur seul moyen de communication avec toute civilisation terrienne seul confident de leur souci et joie, elle affronte le quotidien d’un pêcheur.
A l’intérieur des terres, un vrai Vezo, ou le Vezo de la mer qui ne vit que des produits halieutiques ou nomade (...)
L’Océan, frontière naturelle de la Grande île, partage le destin des pêcheurs. Fille du Mozambique, l’ethnie Vezo n’échappe pas à cette voie. De Lavanono au Sud-ouest, jusqu’au Moyen-ouest au Nord de Morombe, elle navigue, pagaye, se laisse emporter par le Tsioka (le vent). A bord de leur lakana (leur pirogue), leur seul moyen de communication avec toute civilisation terrienne seul confident de leur souci et joie, elle affronte le quotidien d’un pêcheur.
A l’intérieur des terres, un vrai Vezo, ou le Vezo de la mer qui ne vit que des produits halieutiques ou nomade traverse le territoire du Faux Vezo, ou le Vezo de la Boue qui vit de l’élevage et de l’agriculture pour chercher l’arbre rare et précieux qu’est le Farahafatse (Traduit : Dernier message). Cet arbre très léger et imputrescible constitue la base de la vie d’un pêcheur. Armé seulement d’une hache, ce dernier abat son tronc. Sans aucun instrument de mesure, uniquement un sérieux coup (...)